Edito de juin 2022
“Voir un univers dans un grain de sable,
Et un paradis dans une fleur sauvage,
Tenir l’infini dans la paume de la main,
Et l’éternité dans une heure.”
William Blake
Et un paradis dans une fleur sauvage,
Tenir l’infini dans la paume de la main,
Et l’éternité dans une heure.”
William Blake
C'est l'été, les jours sont longs, notre énergie au zénith. Profitons de cette énergie solaire pour continuer à surfer sur la vague du yoga.
En cette saison où le temps s'étire nous pouvons nous lever tôt le matin pour aller contempler le soleil qui se lève sur la mer ou sur la montagne, pour les noctambules, s'allonger et contempler les étoiles et la voie lactée seul ou entre amis. Contempler, c'est ne rien faire, juste observer et être présent.
Enfants des étoiles, nous pouvons saluer ces moments privilégiés où nous ressentons notre filiation cosmique. C’est de cela que nous parlent les quelques vers de W. Blake, le concept d’interdépendance. Connectés à travers l’espace et le temps, nous sommes tous interdépendants.
Le simple fait de respirer nous relie à toute l’espèce humaine. Si nous en prenons conscience nous saurons que notre intérêt et notre bonheur sont liés à ceux des autres et de la planète toute entière.
Vu sous cet angle, les problèmes d’environnement, de pauvreté, de guerres, de famines, de santé nous concernent tous où que nous vivions sur la planète et si nous en prenons conscience nous pourrons développer ce que le Dalai Lama appelle notre “responsabilité universelle”.
Catherine
En cette saison où le temps s'étire nous pouvons nous lever tôt le matin pour aller contempler le soleil qui se lève sur la mer ou sur la montagne, pour les noctambules, s'allonger et contempler les étoiles et la voie lactée seul ou entre amis. Contempler, c'est ne rien faire, juste observer et être présent.
Enfants des étoiles, nous pouvons saluer ces moments privilégiés où nous ressentons notre filiation cosmique. C’est de cela que nous parlent les quelques vers de W. Blake, le concept d’interdépendance. Connectés à travers l’espace et le temps, nous sommes tous interdépendants.
Le simple fait de respirer nous relie à toute l’espèce humaine. Si nous en prenons conscience nous saurons que notre intérêt et notre bonheur sont liés à ceux des autres et de la planète toute entière.
Vu sous cet angle, les problèmes d’environnement, de pauvreté, de guerres, de famines, de santé nous concernent tous où que nous vivions sur la planète et si nous en prenons conscience nous pourrons développer ce que le Dalai Lama appelle notre “responsabilité universelle”.
Catherine